Le récit d’une Punition Cruelle de la part du major

Ce matin-là, Iris s’est réveillée de mauvaise humeur, comme c’était devenu habituel ces derniers temps. Elle n’avait pas grand-chose à quoi se réjouir. Après 8 ans de service en tant que contractuelle (opératrice téléphonique) au sein des forces de l’ordre, la perspective d’être mise en réserve à cause de mesures organisationnelles et d’effectifs se profilait devant elle. Mais ce n’était pas le plus gros problème. Il y a un an, elle avait réalisé son rêve tant désiré et avait acheté un appartement de deux pièces grâce à un prêt hypothécaire militaire. Elle avait investi toutes ses économies dans les rénovations. Elle espérait que maintenant elle n’aurait plus à vivre dans des locations exigües avec son fils.

Après la construction, le chef des communications, le major Kevin, s’approcha d’elle. C’était un homme de 45 ans, bien bâti, qui sentait toujours bon l’eau de Cologne bon marché. Ses yeux fatigués montraient à quel point il était lassé de tout ce service.

– Tu dois être au bureau du chef d’état-major à 13 heures. La question de qui sera touché par les réductions sera examinée. J’ai parlé en ta faveur, mais tu sais que ce n’est pas moi qui décide ici, dit-il pensivement.

– Alors tiens bon, tout n’est pas encore perdu !

Moins de cinq minutes plus tard, à 13 heures précises, Iris se tenait devant la porte du bureau du lieutenant-colonel Victor (le chef d’état-major de l’unité). Un frisson léger lui parcourut le dos, elle comprenait que son avenir dépendrait de cette conversation à venir. Elle frappa à la porte et, après avoir reçu la permission d’entrer, entra dans le bureau. Faisant quelques pas en direction du bureau situé au centre de la pièce, elle s’arrêta net et déclara d’une voix militaire :

– Camarade colonel, caporal-chef Rachel est à votre disposition, comme vous l’avez ordonné !

Nicolas Victor était un vrai carriériste militaire, de ceux qui regardent avec mépris tous ceux qui sont en dessous d’eux en grade et sont prêts à se courber devant ceux qui sont au-dessus. Il aimait montrer son autorité à ses subordonnés. Il jugea le corps d’Iris d’un regard évaluatif et, sans lui offrir de s’asseoir, commença son monologue avec un sourire en coin :

– Iris, dans trois mois, plusieurs postes seront supprimés dans le centre de communication, et nous devrons envoyer quelques camarades travailler dans l’agriculture. Je décide maintenant qui ce sera. Le major Kevin a demandé que vous soyez transférée à un autre poste, vous recommandant comme une spécialiste expérimentée dans son domaine. De plus, vous avez un prêt hypothécaire militaire, et il sera difficile pour une mère célibataire de trouver du travail dans notre ville. Mais pour ce poste, il y a d’autres candidats plus dignes.

Aux derniers mots, Iris ressentit le danger comme si quelque chose de mauvais s’abattait inévitablement sur elle. Elle comprit pourquoi elle avait été invitée pour une conversation pendant le déjeuner. Quand il n’y a presque personne au bureau.

– Que voulez-vous ? demanda-t-elle d’une voix peu assurée.

– Toi, ton corps ! répondit-il avec un sourire narquois.

Iris sentit son corps se figer. En elle se combattaient deux éléments : la fierté et le désir de rester à son poste pour conserver l’appartement et le salaire, qui étaient tout à fait décents pour les normes locales.

– J’accepte, murmura-t-elle timidement, rougissant de honte.

– Qu’acceptes-tu ?

– De devenir ta pute.

– Pas la tienne, mais la vôtre. N’oublie pas ta place, dit-il avec colère.

Nicolas se leva de derrière son bureau et s’approcha d’elle.

– Tourne-toi et penche-toi sur le bureau.

Iris obéit lentement à son ordre. Après un instant, elle sentit ses mains glisser le long de ses hanches, relevant sa jupe. Des larmes de son impuissance commençaient à perler dans ses yeux. Un tirage brusque vers le bas, et les collants avec les sous-vêtements en dentelle se retrouvèrent autour de ses genoux, exposant ses fesses appétissantes. Ses mains commencèrent à les caresser.

– As-tu déjà été sodomisée ?

– Non ! répondit Iris effrayée. Il y a quelques années, elle avait essayé de pratiquer le sexe anal avec son petit ami, mais tout ce qu’elle avait ressenti était une douleur intense. Son petit ami de l’époque n’avait jamais réussi à pénétrer…

– Eh bien, la prochaine fois, je te baiserai par là. À ce moment-là, Iris sentit quelque chose de gros commencer à la pénétrer.

Des mains puissantes la tenaient par les hanches, ne lui laissant aucune possibilité de bouger. Elle n’avait pas l’intention de bouger de toute façon, elle se tenait simplement debout, appuyée sur le bureau, tressaillant à chaque coup. Des larmes coulaient sur ses joues à cause de la douleur et de l’impression qu’elle était devenue un jouet entre les mains de quelqu’un, mais il n’y avait pas de retour en arrière possible. Inexplicablement pour elle-même, Iris ressentit comment Nicolas jouissait en elle, et un liquide chaud coulait entre ses jambes. Une claque brutale sur les fesses la sortit de sa stupeur. En refermant la braguette de son pantalon, Nicolas dit avec un sourire moqueur :

– Tu es libre pour aujourd’hui, je te rappellerai quand j’aurai besoin de toi.

Iris remit sa culotte et ses collants, ajusta sa jupe et sortit du bureau, les jambes molles. Pour elle, une nouvelle vie commençait, une vie en tant qu’esclave sexuelle…

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