Le récit d’un homme dominant qui vous initie à la soumission

Soirée. À l’extérieur de la fenêtre, d’énormes flocons de neige de janvier tourbillonnent. Il reste deux verres de vin rouge sur la table. À proximité, des bougies sont allumées. Vous faites une génuflexion consciencieuse tout en redressant fièrement votre dos dans l’attente d’une félicité sexuelle non découverte. Vos cheveux sont attachés en queue de cheval et de la lingerie noire recouvre votre corps à moitié nu. Je m’approche de vous par derrière et vous lie les yeux avec un mouchoir de soie. Vous ressentez un mélange d’excitation, de passion et de dépravation. Je prends la corde préparée, j’enroule vos mains derrière votre dos et je les noue pour que vous ne puissiez pas vous débattre. Vous êtes ma petite amie dévouée, et maintenant j’ai toute autorité. Ton destin est d’obéir sans poser de questions et de procurer un maximum de plaisir à ton seigneur.

Je défais ton soutien-gorge, révélant ainsi tes magnifiques seins, qui ont déjà développé des tétons raides. Je saisis avidement ces jumeaux, les presse l’un contre l’autre, et lèche individuellement chaque téton. Je les consomme sans le moindre effort. J’utilise le fouet en cuir pour appliquer des touches légères, un peu brûlantes, sur tes seins. Vous avez toujours les yeux fermés. J’insère mes lèvres dans les tiennes. Nos langues s’entrelacent dans une danse de folie. Je tiens fermement tes cheveux et te donne une petite claque avec l’autre main. Un autre baiser intense. Je t’ai positionné en érection sur tes jambes à moitié recroquevillées, ton visage reposant sur le sol. Ton postérieur est maximisé. Admirant le magnifique paysage !

Je touche la région clitoridienne à travers votre sous-vêtement avec mon pouce. Déjà, vous pouvez sentir l’ample humidité. Je continue à frotter doucement ma paume sur votre pustule qui saigne. Vos délicieux gémissements augmentent. Il n’y a pas de temps pour le désir ! Je reçois de terribles tapes sur les fesses. Le pantalon est baissé jusqu’aux genoux. Maintenant, vous allez recevoir une fessée sévère ! Le fouet en cuir est de nouveau utilisé. Les coups de confiance se succèdent. Les petits fouets s’emboîtent, déchaînant une tempête de coups brûlants sur votre cul résolu. Certains atteignent les lèvres. Vous auriez dû prendre une vue de côté de vous-même… Attachée, de travers, avec vos sous-vêtements baissés, et votre cul nu en train d’être battu.

C’est le moment de combler vos lacunes. Vous sentez que quelque chose tente de pénétrer dans votre vagin. Votre utérus cède à la pression avec peu de résistance. Le premier ballon vaginal a été inséré. Avec un peu plus de patience, la deuxième entrée nécessitera moins d’efforts. Vous éprouvez une merveilleuse sensation de plénitude. Cependant, ce n’était que le début. Je livre la chose métallique à votre derrière récemment traumatisé. Vous sentez la tentative de l’acier de s’infiltrer dans votre anus. Une petite quantité de lubrifiant et une nouvelle pression sur votre trou serré. Votre cul permet au visiteur impatient d’entrer en douceur. Le plug anal pénètre avec assurance jusqu’au fond. Encore quelques coups violents sur vos fesses dévêtues.

Je vous mets à genoux et enlève le bandeau de vos yeux. Une bite endurcie défile devant ton visage. Il est temps de me donner autant de plaisir que possible en suçant ma queue. Vous êtes maintenant ma prostituée personnelle. Je t’attrape par les cheveux et te traîne le plus loin possible avec tes lèvres sur la bite dure. Plusieurs autres pénétrations via tes lèvres humides. Quand je soulève mon scrotum, tu lèches mes couilles comme une chienne. Sucer et lécher est maintenant ta tâche principale.

Je t’entraîne à l’écart de l’éruption en saisissant ta queue de cheval. Tu reçois quelques claques. Je serre tes tétons. Tu en veux encore, sale pute ! J’embrasse ton suçon et te donne une nouvelle fessée. Il est temps d’exploiter ta faiblesse. Je retire les boules vaginales de ta chatte humide et te positionne sur le canapé sur le ventre, les genoux pliés. Il est temps de baiser ta croûte hémorragique. La bite pleine longueur insérée, je vous baise dur, fessant parfois votre trou du cul dodu. La perche rigide s’enfonce agressivement et profondément dans ta poitrine chaude, produisant des sons grinçants à chaque poussée. Vous amenant à vous mettre à genoux une fois de plus. Tu vas sucer des bites après tes propres fluides, pute affamée. Le fait de forcer mon organe palpitant dans tes lèvres voraces. J’ai atteint ma limite et je m’en sors encore une fois. Je retire le manche, vous permettant de caresser mes couilles.

Comment est ton postérieur ? J’appuie ton visage sur le sol et soulève tes fesses. J’enlève le bouchon anal du trou étroitement couvert. Je l’insère à nouveau, et le retire à nouveau. Votre fente est bien développée. Je crache sur tes organes génitaux et insère ma bite excitée profondément dans ton trou du cul préparé. Je martèle ton cul avec férocité, en pétrissant tes seins et en tirant tes tétons en arrière. Je sens mon orgasme approcher… Je suis proche. Accélération de la vitesse. Un fort débit de liquide séminal jaillit au fond de ton trou du cul. Ceci conclut la session de la journée.