Récit BDSM : l’ami de mon mari m’a dominé discrètement
Mon mari a reçu son salaire et nous avons décidé de célébrer un peu, sans occasion spéciale. Nous avons rassemblé certains de ses amis et voisins, et nous avons passé un bon moment en écoutant de la musique. Après la fête, tous les invités sont partis. Il ne restait que l’ami de mon mari, qui venait d’une ville voisine. Après l’avoir installé dans la pièce à côté, je suis allée prendre une douche. Quand je suis revenue, mon mari était déjà endormi. Bien sûr, j’étais déçue car je voulais terminer la journée par un acte sexuel passionné. Le réveiller aurait été inutile, je le savais. Je suis sortie dans la cuisine, j’ai versé un verre de vin et j’ai pris quelques grandes gorgées.
Notre invité est alors venu dans la cuisine.
-Il ne peut pas dormir dans un endroit inconnu, dit-il.
-Mon mari dort, impossible de le réveiller en le secouant, répondis-je. Et je me suis dit que même s’il faisait des avances, mon mari ne se réveillerait pas et ne saurait rien. Cette pensée m’a fait frissonner entre les jambes. Mes tétons se sont durcis. J’ai ressenti le désir et l’excitation monter.
De plus, j’ai remarqué qu’il me regardait toute la soirée. J’ai revécu les étreintes passionnées pendant les danses lentes. Ses mains douces glissant parfois de ma taille vers mes fesses. L’excitation et le vin ont fait leur effet. J’ai regardé Olivier et lui ai souri, en jouant avec la ceinture de mon peignoir.
-Il fait chaud, même en peignoir, dis-je en écartant légèrement mon décolleté.
-Et moi, je n’arrive pas du tout à dormir, dit Olivier, sans quitter mes seins des yeux…
-La soirée était merveilleuse, et tu étais la reine de la soirée. La plus belle et la plus séduisante.
-Merci, mais mon mari ne le valorise pas, dis-je tristement. Il boit presque tous les jours, et j’ai tellement besoin d’attention et de tendresse…
Je me suis tue et j’ai regardé Olivier dans les yeux de manière expressive. Il s’est approché immédiatement, m’a enlacée, m’a embrassée dans le cou et, glissant sa main sous mon peignoir, il a glissé dans ma culotte pour caresser mon intimité.
J’ai fermé les yeux et murmuré :
-Qu’est-ce que tu fais ? Ne te dépêche pas. Oh oui, comme ça…
Il m’a embrassée, sa langue est entrée dans ma bouche et j’ai fondu. Après un long baiser passionné, j’ai gémi doucement sous ses caresses et j’ai écarté les jambes. Il a tiré ma ceinture et mon peignoir s’est ouvert, laissant mes seins assez généreux à découvert. Ses doigts plongeaient profondément dans mon vagin et je m’efforçais de les accueillir. Il le faisait si habilement que j’étais excitée et humide. J’ai alors décidé que je me donnerais complètement à lui, mais d’abord, une fellation. M’asseyant sur le bord de la table, j’ai baissé son caleçon. J’ai sorti son membre et, les lèvres découvrant le gland, je l’ai pris dans ma bouche. Il a gémi et a enfoncé ses mains dans mes cheveux, commençant à bouger en moi. J’ai goulûment sucé son sexe, léché le gland, caressé ses testicules. Il a commencé à me pénétrer doucement dans ma bouche, et j’ai gémi légèrement de plaisir. En écartant les genoux, je me suis caressée le clitoris, étonnée par mon audace et la hardiesse d’Olivier.
Ensuite, je me suis relevée, j’ai dégagé la table et me suis allongée sur le dos, écartant les jambes.
Il a lentement introduit son membre et, me saisissant par les hanches, a commencé à me pénétrer. J’ai relevé mes jambes pour qu’elles soient sur ses épaules et j’ai bougé en rythme. Il me faisait l’amour de manière exquise, et j’avais envie de crier de plaisir. Je voulais plus. Complètement immergée dans une extase amoureuse, j’en voulais toujours plus. En tant qu’amant expérimenté, il me regardait dans les yeux, malaxait mes seins et attendait mon orgasme. Je gémissais et frissonnais à chaque coup, savourant le plaisir et les nouvelles sensations. Ce n’était pas le premier homme avec lequel j’étais infidèle à mon mari, mais celui-ci était spécial. Avant cela, j’avais laissé les amis de mon mari m’embrasser et me toucher les fesses. Certains me proposaient une intimité et je n’y résistais pas. Mon mari ne savait rien, et je faisais tout discrètement, parfois jusqu’à être prise trois ou quatre fois au travail en une journée…
Pendant ce temps, la douce torture se poursuivait. Il accélérait de plus en plus, et je n’ai pas pu résister. J’ai fermé les yeux, hurlé et joui en me pressant contre son corps, ne voulant pas me séparer de cette source de plaisir. Dans la cuisine, il y avait des rideaux transparents à travers lesquels on pouvait voir clairement ce qui se passait sur la table depuis la rue. Il a souri, a roulé des yeux et a commencé à se déverser en moi, éjectant des jets puissants de sperme. Les éclats chauds coulaient sur mes coins de lèvres et gouttaient sur ma poitrine et mon ventre. Le visiteur fatigué s’est assis à la table, et je me suis lavée, me suis rincé la bouche et ai commencé à préparer le petit-déjeuner.
Au petit-déjeuner, mon mari a annoncé qu’il avait un jour de congé le vendredi et a proposé à Olivier et sa femme de se joindre à nous pour un pique-nique quelque part en plein air, avec du vin et des grillades. J’ai accepté en échangeant un regard avec Olivier et en souriant modestement. Avant de partir, Olivier m’a embrassée sur la joue, a remercié mon mari pour son hospitalité et s’est retiré, me laissant de bonne humeur.
