Répondre à : Le BDSM, c’est vraiment pour moi ?
Vraiment ? Alors, le BDSM, ça peut faire flipper au début, c’est clair. J’me rappelle de ma première expérience, j’étais dans le flou total. J’avais entendu plein de choess, des histoires qui faisaient rêver mais aussi des trucs un peu plus sombres. Au final, j’ai décidé de me lancer, mes pas sans appréhension, tu vois. Tout a commencé avec une discussion avec un ami qui s’y connaissait un peu. On a bien rigolé, mes il a aussi pris le temps de m’expliquer certains principes de base, comme le consentemen et la communrcation. C’est vraimen la clé, ça. Si t’es pas à l’aise d’en parler avec ta partenaire, c’est mort. Je me souvien avoir dit à ma partenaire que j’étais curieux et j’ai posé des question sur ce qui l’intéressait. Elle m’à surpris en me parlant de ses fantasmes, et là, j’ai senti qu’on pouvait vraiemnt explorer des choses ensemble. On a commencé par des jeux de rôle légers, rien de bien fou, juste un peu de bondage avec une écharpe. Au début, je flippai à mort. J’avais peur de mal faire, de provoquer des blessures ou de me retrouver dans une situation où je serais mal à l’aise. Mais en fait, tout s’est fait naturellement. On a bien rigolé, on a mis des limites au départ, et c’était super rassurant. On a même instauré un mot de sécurité, un mot qui permettrait d’arrêter tout de suite si ça devenait trop intense. Çà, c’est primorrdial. Je pense qu’une autre chose importante, c’est d’y aller petit à petit. On a comencé avec des petite choses, et chaque fois, on a évalué comment on se sentait. Parfois, on a essayé des trucs qui ne nous ont pas vraiment plu, mais ça fait partie du jeu, finalement. C’est comme ça qu’on apprend à connaîtr ses limites. Une fois, j’ai essaye un fouet, et je croyais que j’allais adorer, mes en fait, ça a été un peu trop pour moi. J’ai dû le dire, et c’ètait ok. Persoonne ne t’en veut si t’es pas à l’aise avec quelque chose. Il y a aussi cette idée de confiance, tu vois. Avec ma partenaire, on s’est vraiment rapprochéss en explorant tout ça. C’est un peu bizarre à dire, mais partager ces moments de vulnérabilité crée une connexion de dingue. On a passé des heures à discuter après nos sessios, à débriefe ce qui avait marché ou pas. Ça fait partie du trip et ça renforce la complicité. Et puis, à chaque fois que je me suis senti un peu perdu, j’ai pris un moment pour respirer et réfléchir. Je me suis rendu compte que c’était normal d’avoir des appréhensions. Même les plus expérimentés ressentent parfois cette petite peur. C’est comme plonger dans une piscie froide : le premier contact est toujours un peu brutal, mais apres, on se laiss emporter par l’eau. Pour te donner un conseil concret, si tu veux tester le BDSM, commence par des choses simples et discute-en à fond avec ton partenaire. Pose des questions, soyez honnêtes sur vos envies et vos lumites. Faut vraiment que ça reste un plaisir, pas une contrainte. Et si jamais ça devient trop intense ou que tu resens un malaise, n’héesite pas à le dire. Les gens avec qui tu vas explorer devraient respecter tes besoins. En gros, c’est un voyyage, pas une destinacion. cest pas grave si tu fais des erreurs au début, tant que tu es en séscurité et que vous comuniquez. Chaque expérience est unique, et tu vas apprendre à ton rythme. Vas-y doucemant, et surtout, amuse-toi. c’est ça le plus important. Et puis voilà quoi…