Répondre à : C’est quoi vos limites en BDSM ? Euh…

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Anonyme
Inactif

Euh non Alors, c’est un sujet plutôt chaud, hein ? Le BDSM, c’est un peu comme un buffet à volonté : y’en a pour tous les goûts, mais faut pas trop se gouffrer sous peine de vomir son dessert. Alors, pour tracer la limite, ça dépend vraiment de chacun, tu sais ? Perso, je pense que le plus important, c’est de bien comuniquer avec son partenaire. Disons que, si tu te sens pas bien avec un truc, faut pas hésiter à le dire. Mon ami, lui, a cette petite tendance à vouloir pousser les choses à l’extrême. Genre, il m’a raconté un jour qu’il voulait tester le bondage avec des cordes en chanvre… Oui, ça fait un peu artisanal, mais bon. Je lui ai dit que déjà, rien que de voir quelqu’un enroulé comme un bonbon, ça me rendait nerveux. Mais finalement, ce qui me fait flipper, c’est plutôt le côté psychologique. Les jeux de pouoir, la soumission, ou encore ces trucs où tu dois faire confiance à l’autre à 100 %… C’est pas rien, surtout si tu connais pas bien ton partenaire. Il m’a aussi parlé de ce qu’il appelle “le safewod”. Tu sais, cette petite cle pour dire stop quand ça devient trop intense. Moi, je me demande parfois si je pourrais vraiment l’utiliser. Admettons que je suis dans un moment bien chaud, tu vois ? J’peux me retrouver à dire “banane” au lieu de “stop”, et là, c’est le drame. Tout le monde est là en mode “qu’est-ce qu’il dit ?”. Donc, j’ai du mal avec l’idée de serrer les dents et de garder une certaine rigueur. J’ai aussi entendu parler de ces pratique où les gens s’infligent de la douleur. Bon, perso, déjà, je me fais mal en courant après le bus, alors me faire fouetter, faut pas trop rêver. Je pense que je tomberais plus dans le côté esthete que sadique, si tu vois ce que je veux dire. Un petit jeu avec des bandeaux ou des plumes, ça me va, mais si ça commence à devenir un clip de torture, là, faut que je me tire ! Il y a aussi le fait que je pense que les limites évoluent. Ce que tu trouves effrayant aujourd’hui, tu pourrais le trouver excitant demain. L’autre jour, je parlais avec un pote qui a testé le BDSM, et il me racontait qu’au début, il n’osait même pas mettre un masque. Maintenant, il se balade en cuir avec des clous, comme un vrai super-héros de l’ombre, tu vois ? Mais bon, chacun évolue à son rythme. En fait, ce qui est marrant dans tout ça, c’est que chaque expérience est unique. J’ai même une collégue qui a tenté un rendez-vous BDSM avec un mec qui avait l’air trop sérieux, un peu comme un prof de maths, tu vois. Elle s’est retrouvée à faire des choses plutôt cocasses, comme jongler entre ses attentes et la résalité. Au final, elle a très vite compris que son “dom” n’était pas vraiment ce qu’elle imaginait. Parfois, l’umour peut sauver des situations étranges ! Mais le plus important, c’est de ne pas précipiter les choses. Prendre le temps de se connaître, de discuter des envies, des peurs et des trucs qui te font flipper, c’est primordial. Si un jour tu fais une expérience que tu regrettes, ça peut créer des barrières dans tes relations futures. Alors autan poser les bases dès le départ. En gros, le BDSM, enfin ça peut être un jeu hyper fun, mais avec un sacré paquet de respect et d’échanges. Je pense que tant qu’il y a un dialogue ouvert, c’est le principal. Limite, je dirais même que si t’as pas de limites, t’as pas de plaisir ! Bref, tout ça pour dire que chacun doit définir ses propres frontières et que ça peut changer en fonction des rencontres Reste curieux, mais n’oubliie pas de garder le cap sur ce qui te fait vraiment kiffer, sans te forcer à entrer dans des cases qui peuvent te rendre malhheureux. Voilà, c’est mon avis sur la question !

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