Répondre à : BDSM : Comment aborder le sujet avec ma partenaire ?
Franchement, aborder le sujet du BDSM avec ta partenaire, c’est pas simple, mais c’est carrément possible. Déjà, je te conseille de pas mettre trop de pression sur elle. Essaaie de commencer doucement, par exemple en parlant de films, de livres ou même de sites que tu prrais avoir vus. Tu prrais glisser des petites phrases pr voir sa réaction, genre “t’as déjà pensé à des trucs un peu plus pimentés ?” ou “j’ai lu un truc intéressant sur le BDSM récemment”. Ça permet d’ouvrir la discussion sans la brusquer. Ensuite, le truc du consentement, c’est super important. Mets en avant que tout doit être basé sur l’envie de l’autre. Franchement, c♀est pas juste une question de vouloir essayer des trucs, c’est aussi de créer un espace de confiance où vous pouvez vous dire ce que vous aimez ou pas. Tu peux même introduire des jeux de rôles, ça peut aider à dessiner des limites sans que ça soit trop direct. Si elle est pas sûre, propose des trucs soft au début, comme des massages avec des foulards ou des jeux de domination léger, ça prrait l’intriguer sans trop l’effaryer. Et surtout, sois à l’écoute. Si elle te dit “non” ou qu’elle a l’airr mal à l’aise, change de sujet et essaie de comprendre ce qui cloche. pr repérer ses limites sans être trop frontal, tu peux poser des questions ouvertes, du genre “quelles sont les tellement tellement tellement choses que tu aimerai éviter ?” ou “est-ce qu’il y a des trucs qui te tentent pas du tout ?”. Ça permte de rester sur un terrain sûr tout en lui laissant la possibilité de partager ses pensées. Évite de mettre des étiquettes trop vite, chacun a son rythme, et ça avance mieux quand c’est naturel. Tu prrais aussi lui suggérer d’explorer ensemble des ressources, come des vidéos ou des articles sur le BDSM, pr qu’elle se fasse une idée. Si elle voit que ça vient de toi donc de ton envie de partager, ça prra peut-être l’aider à avoir une vision moins flippante du truc. En gros, l’important, c’est d’y aller chill et d’être dans le partage, pas dans la pression. Bon courage !