Histoire de dominatrices : deux dominas humilie un soumis
Le sous-sol de la villa est un labyrinthe de cuir et de métal, éclairé par des torches LED qui dansent sur les murs tapissés de velours rouge. Je m’appelle Victoria, et ce soir, avec ma sœur de cœur, Livia, nous sommes les reines incontestées de cet empire secret. À 35 ans, j’ai forgé ma dominance au fil des ans : corset de latex noir serré à la taille, bottes à talons aiguilles qui claquent comme des ordres, et un fouet enroulé à ma hanche comme une extension de ma volonté. Livia, plus jeune, plus féroce, porte une combinaison en cuir moulant ses courbes athlétiques, ses cheveux roux cascadant en boucles sauvages. Nous avons capturé notre proie il y a une heure : un soumis volontaire, anonyme pour l’instant, agenouillé au centre de la pièce, nu et tremblant. “Regarde-les,” murmure Livia à mon oreille, son souffle chaud effleurant ma peau. La tension est déjà électrique ; nous savons que la nuit sera longue, impitoyable, un ballet de pouvoir où chaque geste compte.
Il lève les yeux vers nous, et je vois la peur mêlée à l’excitation dans son regard. “À genoux, et baisse-les,” ordonne-je d’une voix suave, mais tranchante comme une lame. Il obéit, le sol froid mordant ses genoux, et Livia s’avance la première, son talon pressé contre son épaule pour le forcer à s’incliner plus bas. “Tu es à nous ce soir, petit jouet,” dit-elle, sa voix un ronronnement venimeux. Nous l’avons ligoté avant : poignets attachés derrière le dos avec des cordes de chanvre rugueuses, chevilles liées par des menottes rembourrées qui l’empêchent de se redresser. La tension monte quand je m’accroupis devant lui, mes doigts gantés de latex glissant sous son menton pour le forcer à me regarder. “Dis-nous ton nom de soumis,” exige-je. Il balbutie “Esclave”, et nous rions en chœur – un son qui résonne comme un avertissement. Livia attrape une chaîne suspendue au plafond et la fixe à son collier, le tirant vers le haut jusqu’à ce qu’il soit à quatre pattes, tendu comme un arc.
Nous commençons doucement, pour faire monter la sauce. Livia prend le paddle en cuir noir, le faisant claquer contre sa paume pour qu’il entende le bruit – un avant-goût de la douleur à venir. “Combien de coups pour commencer ?” demande-t-elle, ses yeux verts pétillant de malice. Je hausse les épaules, feignant l’indifférence. “Dix. Et il compte.” Le premier impact atterrit sur ses fesses, un claquement sec qui le fait sursauter, et il gémit “Un”. La tension est palpable : son corps se crispe, anticipant chaque coup, tandis que nous nous promenons autour de lui, nos talons rythmant une danse prédatrice. Livia alterne les frappes – une sur les cuisses, une sur le dos – et je m’amuse à tracer des lignes de glace sur les marques rouges naissantes, le froid mordant contrastant avec la chaleur de la peau enflammée. Il halète, les muscles saillants sous l’effort, et à chaque “Neuf… Dix”, sa voix se brise un peu plus. “Bien,” murmure-je en caressant ses cheveux trempés de sueur. “Mais ce n’est que l’échauffement.”
Livia me lance un regard complice ; nous aimons ce moment où la soumission se craquelle. Elle disparaît dans l’ombre et revient avec un vibromasseur massif, attaché à un harnais qu’elle enfile avec une lenteur délibérée. “À mon tour de le briser,” dit-elle, et je hoche la tête, m’asseyant sur un trône de cuir pour observer. Elle l’attache à un banc incliné, face vers le haut, exposant son torse et son sexe durci malgré la peur. La tension grimpe quand elle enduit le jouet de lubrifiant, ses doigts explorant son entrée sans ménagement. “Relaxe, ou ça empirera,” grogne-t-elle en poussant lentement, centimètre par centimètre. Il crie, le corps arqué contre les liens, et je m’approche pour pincer ses tétons avec des pinces à chaîne, tirant juste assez pour que la douleur se propage comme un courant électrique. Livia active les vibrations, un bourdonnement bas qui emplit la pièce, et son rythme s’accélère : poussées profondes, impitoyables, tandis que je murmure à son oreille des insultes choisies – “Pathétique, tu bandes pour nous, n’est-ce pas ? Regarde comme tu es faible.”
Des heures passent ainsi, un tourbillon de sensations. Nous échangeons les rôles : je prends le fouet à neuf queues, les lanières sifflant dans l’air avant de mordre sa peau en lignes de feu croisées. Chaque coup est calculé – pas pour blesser, mais pour dominer, pour faire monter la tension jusqu’à l’insoutenable. Il supplie maintenant, les mots sortant en un flot brisé : “S’il vous plaît, Maîtresses… arrêtez… ou continuez…” Livia rit, attachant un bâillon-boule pour étouffer ses plaintes, ne laissant que des gémissements étouffés. Je m’installe à califourchon sur son visage, forçant sa langue à me servir tandis que Livia continue son assaut avec le strapon, ses hanches claquant contre lui. La pièce pue la sueur, le cuir et l’excitation ; nos corps luisants, nos rires se mêlant à ses cris. La tension psychologique est notre arme : nous le laissons au bord de l’orgasme, répétant “Pas sans permission”, nos mains le caressant juste assez pour le frustrer, le corps tremblant d’un désir refoulé.
Enfin, quand ses yeux se voilent de larmes et que son corps convulse au bord de l’épuisement, nous ralentissons. Livia retire le jouet d’un coup sec, le laissant pantelant, et je détache les pinces, massant les marques pour un contraste cruel de douceur. “Tu as tenu, esclave,” dis-je en retirant le bâillon. Il s’effondre, haletant, et nous l’enveloppons dans une couverture chaude, nos mains caressantes maintenant apaisantes. Livia verse de l’eau dans sa bouche, et je caresse son front. “C’était parfait,” murmure-t-elle. La tension s’apaise en une chaleur complice ; nous sommes des dominatrices, pas des tyrans – chaque session renforce notre lien, son abandon total nourrissant notre pouvoir. Il s’endort entre nous, marqué mais entier, et nous échangeons un regard : demain, une nouvelle proie, une nouvelle danse. Mais ce soir, nous régnons suprêmes.
