Histoire de cocu soumis depuis dix ans se fait humilié

Le bruit de la porte d’entrée me fait sursauter, même si je l’attends depuis des heures, assis dans le salon faiblement éclairé de notre appartement. Mon cœur bat la chamade, un mélange de jalousie brûlante et d’excitation perverse qui me noue l’estomac. Isabelle, ma femme depuis dix ans, rentre d’une “soirée entre amis” – c’est ainsi qu’elle appelle ses escapades maintenant. Je suis nu, comme elle me l’a ordonné par texto plus tôt : “Prépare-toi, cocu. À genoux quand j’arrive.” Le collier de cuir autour de mon cou, gravé de “Propriété d’Isabelle”, pèse comme un rappel constant de ma chute. L’air est chargé d’une tension palpable ; je sens déjà l’odeur de son parfum mélangé à quelque chose de plus musqué, plus primal. Combien de temps avant qu’elle ne me raconte ? Ou pire, avant qu’elle ne me montre ? Je ferme les yeux, revivant les sessions passées : ses rires moqueurs, mes supplications, la douleur exquise de l’humiliation.

Elle entre enfin, silhouette élancée dans une robe rouge moulante qui souligne ses courbes, les cheveux en désordre, les lèvres gonflées. Derrière elle, un homme – grand, musclé, avec un sourire arrogant – la suit comme si la maison lui appartenait déjà. “Regarde qui est là, chéri,” dit-elle d’une voix douce, mais chargée de sarcasme, en s’approchant de moi. Je reste à genoux, les yeux baissés, sentant la chaleur de mon visage rougir. La tension monte quand elle pose une main sur ma tête, caressant mes cheveux comme on flatte un chien. “Lève les yeux, Marc. Présente-toi à mon amant.” Je obéis, croisant le regard de cet inconnu – appelons-le Victor – qui me toise avec un mépris amusé. “Bonjour… Monsieur,” balbutié-je, la gorge serrée. Isabelle rit, un son cristallin qui me transperce. “Pas mal, mais il a besoin de leçons. Viens, Victor, installons-nous.”

Ils s’assoient sur le canapé, face à moi, et la tension s’épaissit comme un brouillard. Isabelle croise les jambes, sa robe remontant légèrement, révélant une trace de rouge à lèvres sur sa cuisse – pas le sien. “Raconte-moi ta soirée,” murmure-t-elle à Victor, mais assez fort pour que j’entende chaque mot. Il commence, sa voix grave décrivant comment il l’a emmenée danser, comment ses mains ont exploré son corps sur la piste, comment ils ont fini dans une alcôve sombre. Je suis là, à genoux, forcé d’écouter : “Elle gémissait si fort quand je l’ai prise contre le mur…” Isabelle hoche la tête, ses yeux rivés sur moi, mesurant ma réaction. Mon corps trahit ma torture ; je durcis malgré moi, la jalousie se muant en un désir masochiste. “Regarde-le, Victor. Mon petit cocu bande rien qu’en écoutant.” Elle tend le pied, chaussé d’un talon aiguille, et le presse contre mon entrejambe, frottant juste assez pour me faire gémir. La douleur est légère, mais l’humiliation totale – piétiné devant son amant.

“À ton tour, Marc,” ordonne-t-elle, retirant son pied. “Supplie Victor de te raconter plus. Dis-lui à quel point tu aimes être un cocu soumis.” Les mots collent dans ma gorge, mais la tension est insoutenable ; je dois obéir pour apaiser ce feu intérieur. “S’il vous plaît, Monsieur… racontez-moi comment vous avez baisé ma femme. Je… j’aime être votre cocu.” Victor ricane, et commence en détail : la façon dont elle l’a sucé dans la voiture, avide, les bruits qu’elle faisait, comment il l’a pénétrée par derrière dans l’hôtel, la faisant crier son nom. Isabelle complète, ses mains caressant le bras de Victor : “Il m’a remplie comme toi jamais, Marc. Son sperme coule encore en moi.” La tension psychologique me broie ; des images défilent dans ma tête, vivides, insupportables, et pourtant, mon excitation monte, mon souffle haletant. Elle se lève soudain, relevant sa robe pour révéler qu’elle ne porte pas de culotte – son intimité rougie, luisante. “Nettoie-moi, cocu. Montre à Victor à quel point tu es dévoué.”

À quatre pattes, je rampe vers elle, la tension à son comble : l’odeur de sexe imprègne l’air, un mélange de sueur, de salive et de semence étrangère. Ma langue touche sa peau, goûtant le sel âcre de Victor sur elle, et je lèche avec application, sentant les traces gluantes sur mes lèvres. Isabelle gémit doucement, agrippant mes cheveux pour me guider plus profond. “Plus fort, lapdog. Avale tout.” Victor regarde, amusé, et commente : “Pathétique. Ta femme vaut mieux que ça.” Les mots me frappent comme des coups de fouet, amplifiant la douleur de l’humiliation. Je sens mon propre désir pulser, non soulagé, tandis que je nettoie les preuves de leur trahison. La tension physique s’ajoute : mes genoux douloureux sur le sol dur, mes muscles tendus par l’effort, et cette pression croissante dans mes reins, suppliant pour un contact que je sais ne pas mériter.

Mais Isabelle n’en a pas fini. “Maintenant, sers-nous,” dit-elle en se rasseyant, tirant Victor vers elle pour un baiser langoureux juste au-dessus de ma tête. Je me redresse, tremblant, et elle m’ordonne de préparer des verres – à genoux, bien sûr, en rampant jusqu’au bar. Quand je reviens, ils sont enlacés, ses mains explorant son torse sous sa chemise. “Verse, et regarde bien,” murmure-t-elle. La tension grimpe encore : je verse le whisky, les yeux rivés sur eux, tandis qu’elle déboutonne sa chemise, révélant un corps athlétique que je ne pourrai jamais égaler. Victor la plaque contre le dossier, relevant sa robe à nouveau, et entre en elle d’un coup fluide, sans préliminaires. Elle crie de plaisir, ses ongles s’enfonçant dans son dos, et je suis là, figé, le plateau en main, forcé de regarder. “Ne bouge pas, cocu. Écoute comme je jouis pour un vrai homme.” Chaque poussée résonne dans la pièce, ses gémissements un poignard dans mon cœur, et pourtant, je bande plus fort, la frustration me rendant fou.

Ils alternent positions : elle à califourchon, chevauchant avec une vigueur que je n’ai jamais vue ; lui la prenant en levrette, face à moi, pour que je voie son visage tordu d’extase. La tension est partout – dans l’air chargé de leurs odeurs, dans mes muscles noués par l’immobilité forcée, dans la jalousie qui se tord en plaisir masochiste. “Supplie pour qu’il jouisse en moi,” halète-t-elle entre deux coups de reins. “S’il vous plaît… jouissez en elle, Monsieur… remplissez ma femme,” gémis-je, les larmes aux yeux. Victor accélère, grognant, et explose enfin, son corps secoué contre le sien. Isabelle jouit à son tour, un cri primal qui me fait frissonner. Ils s’effondrent, pantelants, et elle tend la main vers moi. “Nettoie encore, et cette fois, avale tout. C’est ta récompense de cocu soumis.”

Je rampe à nouveau, léchant le mélange chaud qui s’écoule d’elle, goûtant leur union sur ma langue. L’humiliation est culminante : je suis réduit à ça, un nettoyeur pathétique, tandis qu’ils rient doucement au-dessus de moi. Victor finit par se rhabiller, tapotant mon épaule comme on flatte un animal. “Bonne petite chienne. À la prochaine.” Il part, laissant Isabelle me caresser la tête. “Tu as été parfait, mon cocu. Demain, il revient – et peut-être que tu le serviras aussi.” La tension s’apaise en une chaleur épuisée ; je m’effondre à ses pieds, brisé mais comblé, accro à cette soumission qui me définit. Dans ses bras, je sais que c’est ma place : cocu éternel, soumis et reconnaissant.

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