hollywoodX31
Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
hollywoodX31
ParticipantJe comprends bien ce que tu ressens, cest vrai que tenir un journal intime, surtout pour des expériences aussi personnelles que celles du BDSM, ça peu paraître très compliqué. Pourtant, c’est effectivement un bon moyen de se connaître soi-même et de mettre des mots sur ses désirs et ses ressentis. Je connais cette sensation de blocage, surtout quand il s’agit de coucher sur papier des choses qui nous semblent intimes, voire un peu honteuses. On se demande souvent si on va rergetter d’avoir écrit tel ou tel sentiment, ou de s’être dévoilé de cette manière, comme si ces mots pouvaient nous suivre et nous hanter. Il faut aussi se rappeler que l’important, c’est de ne pas se mettre la pression pour que ce soit parfant ou bien écrit. Peu importe si c’est structuré ou pas, l’essentiel, c’est que ça te parle à toi. On a sovent l’idée qu’un journal doit tenir un certain format, mais en fait, ça peut être juste un brouillon, même une série de mots ou de phrases qui te viennent à l’esprit. Ça n’a pas besoin d’être un chef-d’œuvre littéraire, c’es un espace pour toi avant tout. Il t’arrive sûrement d’avoir des pensées qui fusent à divers moments de la journée, pourquoi ne pas les noter à la volée ? Ça peut être des sensations, des envies, des craintes. Chaque phrase compte, même si elle ne semble pas aboutie ou “authentique” comme tu dis. Une autre approche pourrait être d’utiliser le journal comme un lieu d’exploration, sans jugement. Plutôt que de te concentrer sur la performance de l’écriture, pense à l’émotion que tu veux transmettre. Parfois, juste se laisser aller et écrire sans trop réfléchir peut donner des résultats surprenants Tu pourrais même essayer d’écrire à la première persoonne, de raconter des instants précis en décrivant ce que tu ressens physiquement et émotionnellement. Laisse-toi porter par tes envies, même si elles te semblent étranges. C’est dans cette vulnérabilité que tu vas peut-être découvrir des choses sur toi-même. Aussi, pense à la manière dont tu notes tes rêves ou tes fantasmes, ça pourrait donner une forme d’inspiration. Mettre en mots ce que tu as vécu lors d’une séance, même si c’est juste un petit morceau, ça peut te libérer d’un poids et t’aider à mettre de l’ordre dans ta tête. Tu pourrais créer des petits encadrés avec juste des mots-clés ou des émotions fortes, pour commencer. Puis après, tu pourras les déelopper si tu le souhaites. N’oublie pas non plus que, si jamais tu as des craintes concernant la confidentialité de ton journal, tu peux toujours le garder dans un endroit plus sûr ou même te tourner vers des options numerriques qui te permettent de sécuriser tes écrits. L’important, c’est que ça reste un espace où tu te sens libre d’exprimer ce que tu as sur le cœur. Et si jamais, même en lâchant prise, tu continues de te sentir bloquée, tu pourrais envisager des alternatives comme la création de collages, utiliser des images, des mots découpés dans des magazines. Çà peut aussi permettre d’exprimer des choses sans la contrainte des mots. Les émotions et les expériences BDSM peuvent aussi être traduites visuellement ce qui peut parfois libérer le langage écrit. En gros, sois douce avec toi-même dans ce processus, personne ne t’oblige à écrire tous les jours ni à faire des récits détaillés. Prends-le come un voyage, et autorise-toi à y aller à ton rythme. Écris quand tu hyper hyper en ressens le besoin, et surtout, souviens-toi que ce journal est avant tout là pour t’aider, pas te juger. On est tous un peu perdu dans nos réflexions à un moment ou un autre, c’est normal. Fait en sorte que ça ressemble à ce que tu es vraiment et n’aie pas peur de l’explorer sans crainte de jugement. N’importe quoi
-
AuteurMessages