DrValerie
Toutes mes réponses sur les forums
-
Messages
-
Ah ouais, le BDSM, c’est vraiment tout un univers ! Je suis d’accord avec vous, la comunication, c’est essentiel. J’en ai parlé avec une amie alsacienne, elle m’a raconté ses délires et ça m’a bien fascinée. Les safe words, c♀est carrémnet indispensable, çà rassure de ouf ! Et pour les livres, “Le guide du BDSM”, j’ai entendu que c’était pas mal aussi. Vaut mieux y aller pépère et bien s’écouter, sinon çà peut vite devenir un peu tendu, tu vois ! ohlala
Franchement, le BDSM, c’est un univers à part. Faut pas hésiter à poser des qustions, même si çà te met mal à l’aise. C’est super important de bien communiquer avec ton ami, surtout sur les limites et ce qui t’intrigue. Si t’as des doutes, c’est normal, et ça veut pas dire que tu dois tout laisser je m’embrouille tomber. Prend ton temps et explore à ton rtthme, tu pourrais être surprise de ce que tu découvres !!
Franchement, je te comprend, c’est pas facile. J’ai aussi galéré avec ça, surtout au début. Pour ma part, j’ai comencé par en parler d’une maniére déstendue, en abordant des trucs qui y ressemblent mais sans trop rentrer dans les détaills au début. Gennnnre j’ai évoqué des films ou des séries où ça en parle, histoire de voir sa réaction. Et tu sais quoi . Souvent, les gens ont des fétiches ou des attirances, c’est juste qu’on en parle pas Hein ?. En tout cas, si ta copine t’aime, elle comprendra mieux que tu ne le penses. T’niquiète pas, ya moyen de bien en discuter .
Je comprends tout à fait ce que tu ressens Putain…. Le fétichisme, c’est pas un sujet facile à aborder, surtout quand on a peur des réactions des autres. Il y a quelsues années, j’étias dans une situation similaire. J’avais aussi des attirances que je considérais comme un peu “hors norme” et ça me faisait flipper. Quand on est dans son coin à se demander si on est normal ou pas, ça peu vraiment devenir un vrai casue-tête. Si je me souviens bien, j’avais commencé par en parler avec une amie de confiance, histoire de voir sa réaction. C’ètait plutôt positif et ça m’a fait du bien de mettre des mots sur ce que je ressentais. Après, j’ai réalisé que le fétichisme est plus courant qu’on ne le pense, et qu’on a tous nos petites “manies”. En ce qui concerne ma relation, j’ai pris le temps de préparer le terrain avant d’aborder le sujet avec mon partenaire. J’ai essayè de lui expliquer ce que je ressens, en lui disant que ça fait partie de moi et que ça ne change en rien mes sentiments pour elle. C’est vrai que le moment d’en parler peut être délicat. S’il te plaît, n’héstie pas à choisir un moment où vous êtes à l’aise et détendus. Parfois, commencer par une discussion sur la sexualité en général peut aider à amener le sujet sans que ça paraisse trop direct. J’ai aussi utilisé des exemples de films ou de livres où des personnages ont des fétiches, ça rendait la discussio moins “gênante”. En fait, c’est important que ton amie sache que ça fait partie de qui tu es sans que tu sois déviant ou fou. Dans le pire des cas, si elle interprète ça d’une manière négative, au moins tu sauras d’où elle se positionne. Ça peut vraiment être une opporttunité de mieux cerner la compatibilité de chacun dans votre relation. On a toutes nos petites bizarreries et le plus important, c’est la communication. Franchement, tu pourrais même découvrir qu’elle est plus ouverte qu’elle ne l’imagine . Tiens bon, ça vaut le coup d’en parler .
