Histoire BDSM : sissy dans l’obéissance totale
Le miroir me renvoie une image que je peine à reconnaître : mes lèvres peintes en rouge vif, mes yeux soulignés d’un trait noir épais, et cette perruque blonde cascadant sur mes épaules rasées. Je ne suis plus Alex, l’homme banal que j’étais il y a six mois. Non, je suis Lila maintenant, sa petite sissy, et chaque regard dans ce reflet me fait frissonner d’un mélange de honte et d’excitation interdite. Maîtresse Émilie m’a ordonné de m’habiller ainsi ce soir : une robe courte en latex noir qui colle à ma peau comme une seconde peau, des bas résille tendus sur mes jambes épilées, et des talons aiguilles qui me font vaciller comme une poupée maladroite. Autour de mon cou, un collier rose bonbon avec une clochette qui tinte à chaque mouvement, un rappel humiliant de ma nouvelle identité. “Prépare-toi, ma petite salope,” a-t-elle texté plus tôt. “La leçon d’aujourd’hui portera sur l’obéissance totale.” Mon cœur bat la chamade ; la tension est déjà là, palpable, comme un fil tendu prêt à rompre.
Je suis dans notre chambre, agenouillé sur le tapis moelleux, attendant son retour du travail. La cage de chasteté autour de mon sexe – un petit tube de métal rose verrouillé depuis une semaine – me pince désagréablement à chaque pulsation d’excitation refoulée. Émilie l’a installée elle-même, ses ongles vernis grattant ma peau sensible pendant qu’elle tournait la clé avec un sourire sadique. “Pas de plaisir pour les sissys sans permission,” avait-elle susurré. Depuis, je suis dans un état constant de frustration : mon corps réagit à la moindre pensée soumise, mais la cage transforme le désir en une douleur lancinante. Je teste les limites, frottant mes cuisses l’une contre l’autre, mais rien ne soulage. La tension monte, minute après minute ; l’horloge sur le mur tic-tac comme un compte à rebours vers l’inévitable.
La porte d’entrée claque, et ses pas résonnent dans le couloir. Je baisse la tête, fixant le sol, comme elle me l’a appris. “Lila, ma chérie, montre-toi,” appelle-t-elle d’une voix douce, presque maternelle, qui cache une menace sous-jacente. Je me redresse légèrement, les mains posées sur les cuisses, et elle entre, encore en tailleur strict, ses cheveux bruns relevés en chignon impeccable. Ses yeux me balaient de haut en bas, et un sourire lent étire ses lèvres. “Tourne-toi,” ordonne-t-elle. J’obéis, pivotant maladroitement sur mes talons, sentant la robe remonter sur mes fesses. Elle s’approche, son parfum floral envahissant l’air, et pose une main sur mon épaule. “Pas mal, mais tu manques d’élégance. On va corriger ça.” Sa voix est un ronronnement, mais la tension grimpe quand elle attrape la clochette de mon collier et tire, me forçant à me pencher en avant. “À quatre pattes, sissy. Comme la petite chienne que tu es.”
Je glisse au sol, les genoux heurtant le tapis, le latex crissant contre ma peau. La position est humiliante : cul en l’air, tête baissée, la cage pendant lourdement entre mes jambes. Émilie marche autour de moi, ses talons claquant comme des coups de fouet. “Regarde-toi,” dit-elle en me traînant par le collier vers le grand miroir. Je lève les yeux, et là, je vois : une créature pathétique, maquillée comme une poupée gonflable, les joues rougissantes de honte. “Dis-moi ce que tu vois,” exige-t-elle, sa main descendant pour claquer mes fesses à travers la robe. La douleur est vive, un feu qui se propage, et je balbutie : “Je… je vois une sissy, Maîtresse. Votre sissy inutile.” Les mots me brûlent la gorge, mais ils allument un feu plus profond, la cage se resserrant comme une punition vivante.
Elle rit, un son cristallin et cruel. “Exactement. Et les sissys inutiles méritent une leçon.” La tension s’intensifie quand elle disparaît dans le placard et en revient avec une boîte rose – son “kit de transformation”. D’abord, elle relève ma robe, exposant mes fesses et la cage. “Écarte,” ordonne-t-elle, et je m’exécute, tremblant. Un plug anal, large et noir, enduit de lubrifiant froid, est pressé contre moi. “Relaxe, ou ça fera mal,” murmure-t-elle, mais elle pousse quand même, d’un coup sec qui me fait crier. La sensation d’invasion est écrasante : étirement douloureux, plénitude forcée, et déjà, les vibrations qu’elle active par une télécommande me font haleter. “Marche, maintenant. Montre-moi comme une vraie sissy.” Sur mes talons instables, je titube à travers la chambre, le plug pulsant en moi, la clochette tintant, la cage me torturant à chaque pas. Chaque mouvement amplifie la tension : douleur au cul, frustration au sexe, humiliation dans le miroir qui reflète ma déchéance.
Mais elle n’en a pas fini. “Assieds-toi au maquillage,” dit-elle en me guidant vers le vanity. Je m’installe, les jambes écartées par une barre de métal qu’elle verrouille à mes chevilles. “Aujourd’hui, on accentue tes lèvres. Pour sucer comme il faut.” Ses doigts, experts, appliquent du gloss, étirant ma bouche en un “O” parfait. La proximité de son corps – sa jupe frôlant mes cuisses – fait durcir mon sexe emprisonné, la cage mordant cruellement. “Pauvre petite chose,” moque-t-elle, pinçant la cage à travers le latex. “Tu bandes pour moi ? Pathétique.” La tension est électrique ; je supplie intérieurement pour un soulagement, mais elle secoue la tête. “Pas encore. D’abord, tu vas apprendre à supplier.”
Elle me détache et me force à genoux devant elle, relevant sa jupe pour révéler qu’elle ne porte rien en dessous. “Lèche, sissy. Montre ta dévotion.” Son goût salé envahit ma bouche, et je m’applique, la langue tremblante, tandis que le plug vibre plus fort sous son contrôle distant. Mes propres besoins sont ignorés ; la cage me rappelle constamment mon impuissance. Des larmes coulent sur mes joues poudrées – de frustration, de désir refoulé. Elle gémit doucement, agrippant mes cheveux, et la tension culmine quand elle jouit, inondant mon visage. “Nettoie-toi,” ordonne-t-elle, me tendant un miroir pour que je voie le désordre : gloss étalé, mascara coulant. L’humiliation est totale, et pourtant, mon corps en redemande.
Enfin, elle s’agenouille à mon niveau, clé de la cage en main. “Tu as été une bonne sissy ce soir ?” Je hoche la tête frénétiquement. “Supplie-moi de te libérer.” Les mots sortent en un flot désespéré : “S’il vous plaît, Maîtresse, libérez votre sissy… je ferai tout pour vous.” Elle déverrouille, et la pression se libère en une explosion de douleur-plaisir. Mais au lieu de me laisser me toucher, elle attache mes mains derrière mon dos. “Pas de jouissance. Tu jouiras quand je le dirai.” Le plug est retiré brutalement, me laissant vide et pantelant, et elle me plaque sur le lit, face contre matelas. Avec un strapon énorme, noir et veiné, elle me pénètre sans ménagement, son rythme impitoyable. Chaque poussée envoie des ondes de feu à travers moi, la cage ouverte maintenant permettant un érection douloureuse contre les draps.
La tension est à son comble : je suis sa marionnette, son jouet sissy, criant dans l’oreiller tandis qu’elle me chevauche. “Dis-le : je suis une sissy pour toujours,” gronde-t-elle. “Je suis une sissy pour toujours !” hurlé-je, et l’orgasme arrive enfin, forcé, dévastateur, me vidant en spasmes incontrôlables. Elle continue un moment, prolongeant la surstimulation jusqu’aux larmes, puis s’effondre à mes côtés, me caressant les cheveux. “Bien, ma Lila. Demain, on recommence – avec des invités.” La tension s’apaise en une chaleur épuisée, mais je sais que c’est temporaire. Dans ses bras, je suis transformée, brisée et aimée, accro à cette identité qu’elle m’a imposée.
