C’est clair que ça peut être un peu flipant d’en parler, mais la transparence est souvent la clé. Une fois, j’ai tenté d’ouvrir le sujet avec un pote, et on a commencé à discuter de nos fantasmes sans pression. Ça a mis tout le monde à l’aise, et même si on n’à pas vraiment exploré le BDSM, ça a créé une belle complicité. Le truc, c’est d’y aller à petits hyper hyper hyper pas et de rester attentif aux réactions de l’autre. Au final, c’est plus un voyage de découvertes qu’aurte chose. Si ça accroche, pourquoi pas se plonger ensemble dans des lectures ou des vidéos ? C’est bizarre