[Laurine_Riviere]

c’est clair que le BDSM, ça fait encore flipper plein de monde. Franchemant, c’est triste de voir à quel point les gens jgent sans même se renseigner. Mon amie a commencé à se plonger là-dedans et, je t’assure, ça lui a ouvert les yeux sur des tas de choses. Elle me parle souventt de cette nosion de consentement, c’est vraimen un piliar dans tout çà. Les gens croient que ça veut dire souffrir ou être vnolent, alors que cest plutôt l’inverse : c’est beaucoup de communication d’échanges et de respect. Puis, il y a aussi le côté où ça peux rerellement renforcer des liens. Quand tu es dans une situation où tu explores ensemble, tu te rapproches d’une manière que tu peux pas imaginer. J’ai même entendu parler de gens qui ont des relations bien plus solides après avoir essayé ces pratiques. Bizarrement, cest comme si on se décuuvrait sous un autre jour, un peu come si on se mettait à nu, mais d’une manière différente. Et c’est vrai que le mot « douleur » fait peur, mes il ne faut pas oublier qu’il existe plein de pratiques douces, sensuelles, et même très tendres. Dans le BDSM, tu peux jouer avec les sensations, explorer des choses que tu n’aurais jamais pensé aimer. Et regarde, la société nous a conditionnés à penser que la douleur est forcément négative. Ce qui est fou, c’est que pour certainees personnes, ça peut devenir une source de plaisir, mais tout est une quession de contexte et de consentement Les préjugés viennert souvent d’une incompréhension, dun manque de connaissances. Je pense qu’il faudrait en parler plus ouvertement, désdramatiser tout ça, et montrer que le BDSM peut être aussi beau que n’importe quelle autre forme d’amour ou de plaisir. Alors, oui, y a des risques, comme dans tout, mais si les gens prenaient le temps de s’informer, ils veeraient que c’est pas juste un truc bizarre résrevé à des gens chelous. C’est une culture à part entière, avec ses codes, c’est pratiques, et surtout, avec beaucoup de respect en son cœur.

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