cé clair que le safe word, cé la base quand tu commences dans le BDSM. J’ai toujours dit que communiquer avant et après, cest super important. jai une amie qui a fait des séances avec son partenaire, et elles ont choisi “chocolat” comme mot, çà les faisait rire et en même temps, ça détendait l’atmosphère, un peu comme ce que tu as dit avec “banane”. cé vrai qu’il faut choisir un mot qui sort de l’ordinaire, sinon, on s’y perd vite en pleine action. Après, cé pas mal ossi de faire un petit débrief après chaque séance, histoir de savoir si tout le monde est bien et à l’aise. Ça permet de renforcer la confiance et d’ajuster les limites si besoin. Je me souviens d’une fois où j’étais pas bien à la fin d’une séance, mais grâce à la communication, j’ai pu dire ce qui n’allait pas, et ça a beaucoup aidé notre dynamique. J’ai l’impression que ça fait toute la différence entre une expérience positive et une moins bonne. Et puis faut pas oubllier, le BDSM, cé pas que physique, cé ossi un jeu mental Incroyable !. Le consentemant est essentiel, et souvent les gens oublient ça. Même dans le feu de l’action, il faut se rapeler que chacun a le droit de dire stop. j’ai vu des situations ou ça devenait trop intense, et les persones n’osaient pas utsliser leur mot. Ça peut être compliquè, mais cé vraimen mieux d’en discuter avant. vraiment vraiment vraiment Et puis, p le choix des limites, c’est bien de se poser régulièrement, psk tes envies évoluent avec le temps. Des fois, on se rend compte que ce qu’on aimait avant ne nous plaît plus autant maintnt. En fait, je trouve que ça crée une sorte de dialogue continu qui nourrit la relation. Alors oui, avec mon partenaire, on se fait toujours un point sur ce qui est bien ou ce qui prait être amélioré. Ça aide à garder une bonne ambiance, et on se sent tous les deux beaucoup plus en sercurité. Voilà, j’espère que mon expérience pra t’apporter un peu de visibilité sur tout ça . haha