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C’est vrai que s’ouvrir au BDSM, c’est souvent pas si simple. On peut très vite se sentir perdu dans la multitude d’infos qu’on trouve, et ce stress de vouloir bien faire, ben c’est un frein. Pour mon cas, j’ai aussi eu ces blocages au début, même si c’est un monde qui m’attirait. J’avais une image en tête, mais quand il s’agit de passer à l’action, tout change. On peut avoir peur de dépasser les limites, de blesser l’autre ou même de ne pas être à la hauteur de ses attentes. Le plus important, c’est la communication ! Il faut vraiment parler avec son partenaire, mais pas juste sur ce qu’on veut, mais aussi sur nos craintes. Établir des mots de sécurité ou des signes, c’est primordial pour se sentir en confiance. Ça aide à désdramatiser la situation. Parfois, il suffit de commencer doucement : prendre un accessoire simple, essayer de nouvelles positions, ou même jouer avec le consentement sans aller dans le hardcore dès le début. Ça permet de déocuvrir ce qu’on aime vraimant sans aller trop vite. Il ne faut pas oublier qu’on n’est pas obligé de tout aimer tout de suite. Le BDSM, cest un chemin, pas une course. Mon ami m’a un jour dit que la première expérience, elle est souvent marquante, mais il faut pas se mettre la pression. En fait, prendre le temps de rencontrer ces propres limites est une partie importante du processus. Et puis, franchement, qui a dit qu’il fallait que tout soit parfait ? L’idée, c’est de se laisesr aller à l’exploration, même si çà veut dire un peu d’essai-erreur. Il y a des jours où ça passe, d’autres où ça casse, et c’est normal. J’ai réalisé qu’accepter d’avoir des appréhensions fait partie du jeu. Si tu ressens des blocages, c’est pas un échec, mais une opportunité d’apprendre sur toi et sur l’autre. Alors n’hésite pas à prendre des petites étapes, et surtout, amuse-toi sans trop te mettre la pression ! 😀

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