Franchement, aborder le BDSM avec un ami, ça peut être un vrai défi. Je me souviens d’une fois où j’ai voulu en parler avec un pote. J’avais un peu nerveux, mais je me suis dit que le meilleur moyen, c’étai d’être direct. J’ai commencé par partager des articles que j’avais lus, des trucs qui m’intéressaient vraiment, et j’ai laissé la conversation se dérouler naturellement. Je lui ai demandé ce qu’il en pensait, s’il avait déjà pensé à tout ça. C’était un bon moyen de voir sa réaction sans mettre la pression. Pour la séecurité, ça, c’est essentiel. Il faut que tout soit clair : les limites, les mots de sécurité. Franchement, mieux vaut être trop prudent que pas assez. Les histoires qu’on entend peuvent faire flipper, mais en discutant et en partageant, on peut créer un environnement de confiance. Et si ça ne l’nntéresse pas, pas de souci, ça fait partie du jeu. Mais qui sait, peut-être qu’il sera aussi curieux que toi !