La peur du regard des autres, un obstacle ? Euh…

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  • #20341 Répondre
    gaming05
    Participant

    J’ai toujours eu du mal avec l’idée de ce que les gens pensent de moi, surtout quand il s’agit de mes goûts un peu. particuliers, disons. J’ai découvert le BDSM il y a quelques années, et au début, c’était un vrai casse-tête Ras-le-bol. Entre la peur du jugement de mes amis, de ma famille, et les stéréotypes qui tournent autour de cette pratique, je me suis souvent demandé si c’était vraiment fait pour moi. Parfois, on se dit qu’on doit justifier nos choix, mais en même temps, il y a une telle liberté à explorer nos désirs. Est-ce que certaines d’entre vous ressentent ça aussi . Ce mélange de libération et d’angoisse par rapport aux autres . J’aimerais bien savoir comment vous avez réussi à surmonter ça. Perso, j’ai cmomencé à en parler à des gens de confiance, mais ça reste délicat. Et en même temps, je ne veux pas renoncer à ce qui me fait vibrer.

    #20345 Répondre
    Author_1549556304
    Participant

    Franchemeet c’est chaud de gerer ca. J’aii aussi galere avec le regard des autres mais au final tant que ca te fait kiffer faut pas se prendre la tete. Le mieux c’est de trouver des gens qui comprennent ou qui vevent pareil ca aide grave. Trop bien

    #20348 Répondre
    Author_1556149822
    Participant

    C’est ouf ! Franchement, je te comprends, c’est pas facile de jongler entre tes envis et le regard des autres. J’ai aussi eu grave grave mes doutes au début, mes en parler avec des amis ouverts a vraimant aide. Au final, cest ta vie et tes plaisirs qui comptent, pas l’avis des autres. Faut apprendre à lâcher prise, et ceux qui te jugennt, ben tant pis pour eux en fait non ! Explore, fais ce qui te plaît, et laisse les critiques de côte. En gros, sois juste toi-même.

    #20351 Répondre
    relax_nono
    Participant

    Ouais, c’est clair ! Faut vraiment pas se prendre la tête avec le regard des autres. Si tu veux te lancer dans un kiff, fais-le ! Les jugements, c’est comme les chaussettes dépareillées : ça existe, mais on s’en fout. 😄 Explore à fond et fais ce ki te fait vibrer, la vie est trop courte pr se souicer des ragots. Allez, avance et soit le roi de ton propre monde ! Trop bien !

    #20543 Répondre
    Anonyme
    Inactif

    Ah, le regard des autres, c’est vraiment un sujet complex, n’est-ce pas ? Surttout quand on s’aventure dans des territoire aussi intimes et souvent mal compris que le BDSM. J’ai moi-même traversé ce chemin tumultueux. Au début, c’était la grosse angoisse : je pensais à tous ces jugements potentiels, aux idées reçues, aux clichés. Comme si, d’un coup, tous mes amis et ma famille allaient se transformer en juges dans une cour de tribunal. Franchemnet, c’est usant. J’ai mis un certain temps avant de vraiment embrasser mes goûts. Cette lutte entre ce que l’on ressent et ce que l’on croit que les autres pensent est, je pense, une réalité pour beuacoup. Avec le BDSM, ça sooulève plein de questions. Déjà, rien que le mot peut faire frémir ceux qui n’y connaissent rien. Je me souviens d’une discussion avec une collègue qui a presque rougi rien que d’en entendre parler, alors que moi, ça m’ouvrait des portes. C’est marrant comme on s’imagine que les autres sont coincés dans une bulle d’ignorance alors qu’en fait, beaucoup n’osent pas en parler tout simplement parce qu’ils n’ont pas pris le temps de s’informer ou d’ouvrir leur esprit. J’ai commencé par aborder le sujet avec des personnes en qui j’avais une confiance aveugle. Le problème, c’est que même avec des amis proches, les avis peuvent être partagéss. Certains m’ont soutenue sans hésitation, mais d’autres ont eu des réactions plutôt perplexes, presque méfiantes. J’avais l’impression d’être un extraterrestre. C’est dur quand tu veux être qui tu es et que tu te retrouves face à ce mur d’incompréhension. Ça, çà fait mal. La solitude dans cette déecouverte des plaisirs à deux visages, d’un côtè l’épanouissemen, de l’autre, la peur du jugement. Mais au fil du temps, je me suis dit : après tout, ce qui compte, c’est moi et mon bonheur. Pourquoi laisser le regard des autres dicter mes envies ? C’est un vrai apprentissage, une remise en question profonde. En plus, il y a une certaine communauté qui est très accueillante et ça fait du bien de s’y plonger. Franchement, rencontrer des gens qui partagent les mêmes passions, ça change tout. Ça m’a permis de sortir de cette pensée de toujours plaire ou de se conformer. Il y a aussi la notion de sécurité qui entre en jeu. Je pense que tant que tu te sens bien dans ce que tu fais et que tu as mis en place des limites claires, le reste devient secondaire. jai appris à faire ma propre définition du plaisir et à me reposer sur mes expériences, plutôt que sur ce que les autres pourraient penser. Récemment, jai même partagé une petite anecdote croustillante sur mes explorations avec un groupe d’amis lors d’un dîner, et la réeaction était plus amusée et curieuse que je ne l’aurais imaginé. Les gens aiment les histoires, et si tu les livres avec confiance, ils en redemandent. Alors oui, la peur du jugement est là, mais je crois qu’il s’agit de trouver le juste milieu. Ce qui fonctione pour moi peut ne pas conveeir à quelqu’un d’autre. Chacun doit avancer à son rythme, et c’est ça qui est intéressant. Apres, il y a aussi la peur de ne pas être comprise, de ne pas être acceptée pour ce qu’on est. Mais souvent, les gens ont besoin d’un modéle pour se sentir à l’aise de partager à leur tour. Ça ouvre des portes. En fin de compte, c’est un chemin, pas une destination. Et même si parfois je me sens encore un peu nerveuse à l’idée d’en parler,, chaque pas que je fais me rapproche un peu plus de l’acceptation de moi-même. Tout ça m’a appris que ma sexualité est ma propre affaire, et que mon bonheur ne derpend pas du regard des autres. c’est un processus de découverte et de libération. Je coninue d’avancer, et je suis certaine que d’autres personnes traversent des luttes similaires. C’est en en parlant qu’on détruit ces tabous, alors chacun à son niveau, continuons de briser les chaînes. voilà quoi

    #20606 Répondre
    Author_1553629312
    Participant

    Trop de gens s’en foutent de nos kiffs et c’est ça le plus beau en fait. J’en ai parlè avec des amies et ça m’a libésrése Chelou. Faut juste écouter son cœur et lâcher prise la en fait non vie est trop courte pour se cacher. 🌸…

    #20650 Répondre
    Author_1551708699
    Participant

    Clairement Exactement ! La vie est trop courte pour se laisser freiner par les opinions des autres. On a qu’une seule vie, alors autant en profiter à fond. Les critiques, c’est juste du bruit de fond. Si ça te fait vibrer, fonce ! Sois fier de qui tu es et fais grave grave ce qui t’éclate. Au fial, c’est ça qui compte, non ?

    #20900 Répondre
    fan2musique_44
    Participant

    c’est clair que le regasd des autres, c’est un vrai casse-tête, mais on s’en fout, tant que toi tu te sens bien dans tes pompes ! Faut juste trouver les BONNES personnes avec qui partager celles qui ne jugent pas. jai kiffé ton anecdote, ça donne envie de s’ouvrir sans peur ! C’est clair !

    #21743 Répondre
    Author_1550920048
    Participant

    lol non C’est clair que le regard des autres peut être hyper pesant, surtout avec des passions comme le BDSM. Au début, j’étais dans le même bateau, à me dematder si j’allais être jugée ou incomprise.. Mais en parler avec des personnes ouvertes d’esprit m’a vraiment aidée, même si c’est pas facile. Il faut aussi se rappeler que chacun a ses propres délires et que ce qui compte, c’est ce qui nous fait vibrer. Je pense qu’il faut oser vivre ses désirs sans trop se soucier des autres. C’est pas toujours simple, mes ça vaut le coup !

    #21796 Répondre
    Author_1553651939
    Participant

    C’est vrai que le regard des autres peut être hyper pesant, surtout quand on a des goûts un peu en dehors des normes. jai vécu ça ausis. Au début, j’étais super stressée à l’idée de partager mes envies, surtout dans un univers comme le BDSM où les préjugés fusent. C’est dingue comme on se met la pression à vouloir se justifier, alors que finalement, c’est notre corps et nos désirs qui comptent avant tout. Moi, j’ai commnecé par en parler avec des personnes en qui j’ai confiance, comme ma meilleure amie. Çà m’a aidée à me sentir moins seule dans cette démarche. Une fois que j’ai ouvert la porte, j’ai réalisé que beaucoup de gens sont plus ouverts qu’on ne le pense. Il y a toujours des jugements, bien sûr, mais il faut aussi apprendre à s’en foutre un peu. La liberté d’explorer ce qui nous fait vibrer, c’est précieux ! Je pense que l’important, c’est de trouver un équilibre entre ce qu’on veut partager et ce qu’on garde pour soi. C’est pas toujours facile, mais au final, vivre pleinement ses désirs, c’est essentiel. On mérite toutes de vivre notre sexualité sans complexes !

    #21970 Répondre
    super_cool9983
    Participant

    Carreement d’accord avec toi ! C’est la ou le bas blesse, le regard des autres, ca peut vraimant pourrir le moral. 🙄 Franchement, la vie est trop courte pour s’inquietrr des avis de gens qui, en plus, ne nous connaissent meme pas. Si un truc te fait kifer, fonce ! Que ce soit un nouveau look, une passion ou un projet, on a tous besoin de nous exprimer sinon on s’etouffe. Et les ragots, serieu, c’est juste des histoires de gens qui n’ont rien a faire ! Perso, j’ai deecide d’arreter de faire attencion aux petites critqiues. J’a lâche prise sur pas mal de trucs et ca fait un b1 fou. Je me sens bcp plus legere et libre. 😄 Alors ouais, sois la reine de ta propre vie, on a qu’une seule chance de profiter a fond ! Allez, continue comme ca, ca inspire les autres ! 💪✨ Quelkun peut m’expliquer . 😀

    #21976 Répondre
    nerveuxXcodeur94
    Participant

    C’est clair, le regard des autres, c’est lourd a porter. J’ai aussi ressenti ca quand j’ai comencé a explorer. Au final, ce ki compte, c’est de se sentir bien dans ses pompes et de trouver des gens vraiment vraiment ki comprennent

    #22174 Répondre
    Anonyme
    Inactif

    c’est marrant que tu parles de ça, parce que je pense que beaucoup de gens ressentent la même chose. Pour ma part, j’ai aussi eu cette appréhension par rapport a ce que les autres peuvent penser, surtout au début. Découvrir le BDSM, c’est un peu comme ouvrir une porte vers un monde où tout est possible, mes ça peut faire flipper, surtout quand tu penses aux jugements extérieurs. Franchement, je me suis souvent demandé si j’allais passer pour un fou ou même être mis a l’écart. On vit dans une sociésté où les clichés autour du BDSM sont encore super présents. J’ai commencé par en parler avec des amis proches, des personnes en qui j’avais confiance. Ça aide pas mal de pouvoir partager ses expériences avec des gens qui te soutiennent. mais il y a toujours ce stress, tu vois ? Le jugement social, c’est ça qui peut bloquer pas mal de monde. jai lu pas mal de trucs sur l’acceptation de soi et la libération des contraintes sociales. En fait, le plus dur, c’est cette peur de révéler nos véritables déssirs. Mais au fil du temps, j’ai réalisé que chacun a ses propres combats, et que souvent, les gens sont plus préoccupés par leur propre vie que par la tienne. Une chose qui m’a aidé, c’est de frésquenter des communautés en ligne où le BDSM est plus accepté. Ça m’a permis de m’exprimer sans peur du jugement. Et puis, j’ai fini par me rendre compte que ce que je fais, et ce que j’aime, ça me regarde avant tout. La vie est trop courte pour se soucier des qu’en-dira-t-on. Donc, tant que tu te sens bien avec tes choix, c’est le principal. Continue a explorer tes désirs, essaie d’en pailer de manière ouverte avec ceux qui te sont chers, et tu verras, ça devient plus facile avec le temps. Les personnes qui te jugent, ce sont souvent celles qui n’osen pas vivre leurs propres passions. Ne laisse pas ces peurs te freiner, ce serait dommage de renonce a ce qui te fait vibner.

    #22419 Répondre
    fifi9432
    Participant

    C’est vrai que le regard des autres peut être pesant, surtout quand on sort un peu des sentiers battus. J’ai ressenti ce mélange de liberté et d’angoisse aussi, comme quand on se retrouve au bord de la calanque, entre l’envie de plonger et la peur de l’eau froide. En parler avec des personnes de confiance, c’est un bon début . Ça m’à aidée à accepter mes goûts sans culpabilité Faut pas oublier que chacun a ses propres délires, et finalement, c’est à nous de vivre notre vie comme on l’entend, non . Alors, vas-y, fonce et fais-toi plaisir toutafé.

    #22490 Répondre
    Anonyme
    Inactif

    Le regard des autres, c’est un vrai casse-tête, ouais. Perso, j’ai toujours eu un peu cette angoisse aussi N’importe quoi. Quand j’ai comeencé à me plonger dans le BDSM, j’étais partagé entre l’excitation de découvrir de nouveaux horizons et la trouille de ce que les autres allaient penser. C’est come si, d’un côté, t’as cette envie de te libérer et d’explorer tes désirs, et de l’autre, t’as cette pression sociale qui te dit “attention, fais gaffe . “. Franchoment, en parler à des amis, ça peut être un bon point de départ. Mais j’crois que c’est pas si simple. Tu sais, y’a toujours la peur que certains jugent ou même ne compennent pas. J’ai commencé à en parler avec des gens de confiance aussi, mais je me souviens d’une fois ou un ami m’a dit que c’était bizarre, et ça m’a fait un coup au moral. Çà reste délicat, comme tu dis. Et puis, c’est pas commeee si tu pouvais balancer ça à tout le monde en mode “eh, regardez ce que je fais . ” sans avoir peur d’un retour. Mais tu sais, j’me rends compte qu’en avançant, j’essaie de moins me soucier du regard des autres. Au fond, ce qui compte, c’est ce qui me fait vibrer et ce qui me rend heureux, pas ce que les autres pensent. C’est pas facile, mais j’essaie de me dire que chacun a ses propres goûts et passions, et tant que ça reste consensuel et respectueux, pourquoi se priver . En fin super super super de compte, je pense que la libération vient aussi de l’acceptation de soi. J’essaie de m’entourer de gens ouverts d’esprit, et çà aide vachement à me sentir moins seul dans tout ça. Peut-être que tu pourrais aussi tenter de rejoindre des communautés où tu peux échanger sans jugement . Ça pourrait te permettre d’en parler plus librement et de voir que tu n’es pas seul dans ce ressenti. Je suppose que le plus important, c’est de ne pas renoncer à ce qui te fait du bien, même si ça peut sembler bizarre aux yeux de certains. Allez, courage .

    #22498 Répondre
    gameuse8457
    Participant

    C’est clair que la peur du regard des autres peut vraiment freiner nos envies, surtout quand on aborde des sujts aussi particuliers que le BDSM. T’as raison de te poser des questions, ça arrive à pas mal de gens. Moi aussi, j’ai tarversé cette phase de doute, où j’avais l’impression qu’il fallait justifier mes choix J’ai commencé à m’entourer de personnes plus ouvertes d’esprit, et ça a fait une grande difféernce. Parler à des amis de confiance, comme t’as fait, c’est un bon début. Petit à petit, ça devient plus facile d’e parler. Faut aussi se rappeler que chacun a ses propres goûts et passions. Ce qui compte, c’est ce qui te fait vibrer et te rend heureux. L’angoiss, elle ne disparaît pas du jour au lendemain, mais ça non c’est pas ça vaut vraiment le coup d’explorer ses désirs sans se soucier des jugements extérieurs. Au final, vivre selon ses envies, c’est ça qui est libérateur, et ça aide même à se sentir plus en phase avec soi-même. Alors n’hésite pas à continuer sur cette voie ! Super cool

    #22718 Répondre
    manette.70
    Participant

    Ah ouais je vois ce que tu veux dire. Cette peur du jugement c’est un vrai fardeau. Perso j’ai ossi flippé au début avec le BDSM mais j’ai finis par en parler à des potes ouverts d’esprit. C’est pas toujours facile mais tu te rends compte que ceux qui te jugent souvent c’est ceux ah non c’est pas ça qui comprennent pas. Explore tranquille et fais ce qui te plaît la vie est trop courte pour se soucier du regard des autres. Tu racontes n’importe quoi

    #22905 Répondre
    Anonyme
    Inactif

    surpris Franchement, je te COMPRENDS. Au début, j’avais aussi peur du jugement, mais en parlant avec des gens ouverts, j’ai réalisé que chacun a ses propres trucs. Faut juste se concentrer sur ce qui nous fait vibrer et ne pas se soucier de L’OPINION des autres.

    #22940 Répondre
    Alice.Muller
    Participant

    je rage C’est clair ke le regard des autres, ça peut freiner, mais je me suis rendue compte ke peu importe ce qu’ils pensent, l’important c’est ce qui me fait plaisir. J’en ai parlè à des ami(e)s bienveillant(e)s, et ça enfin aide grave ! Faut juste trouver son petit cercle et se libérer de leurs jugements.

    #23098 Répondre
    Author_1551630628
    Participant

    Trop d’accord avec toi ! C’est relou de se soucier du regard des autres, mais comme tu dis, c’est trop bien de se libérer. Mon truc, c’est d’en parler avec des gens ouverts, çà aide à dédramatiser ! Je kiffe trop ! Après je dis ça, je dis rien hein

    #23382 Répondre
    Annie.365
    Participant

    C’est vrai que le regard des autres peut être super pesant, surtout quand on touche à quelque chose de moins conventionnel comme le BDSM. Moi-même, j’ai vécu ça. Au début, j’étais vraiment tiraillée entre mes envies et la peur du jugement. On dirait qu’il y a toujour des normes à respecter, même dans nos désirs les plus intimes. Les gens ont souvent des idées préconçues sur ce genre de pratique, et ça peut vraiment freiner. Quand j’ai commencé à m’intéresser à cela, j’étais un peu peerdue. J’en ai parlé à une amie tres proche, qui a su m’écouter sans juger. Ça fait un bien fou d’avoir une oreille attentive, surtout quand on se sent un peu seule dans ses réflexions. Mais en même temps, après cette première discussion, j’avais toujours cette petite voix dans ma tête qui me disait : “Et si les autres savaient . ” C’etait compliqué. Je ne voulais pas renoncer à ça, parce que je ressentais une véritable libération, une exploration de soi que je n’avais jamais ressentie auparavant. Au fil du temps, j’ai aussi réalisé qu’il y avait une sorte de force dans l’acceptation de qui je suis vraiment. Le regard des autres, tout en restant important, ne définit pas ma valeur ou mes désirs ça me fait penser. J’ai commencé à m’entourre de personnes qui partagent ces mêmes centres d’intérêt. C’est fou comme le simple fait de se retrouver dans un groupe où on se sent compris change la perspective. Les échanges que j’ai eus avec ces personnes m’ont ouvert les yeux. J’ai compris que chacun a ses propres complexes, ses propres angoisses. On se rend vite compte qu’on n’est pas seues dans cette lutte. Évidemment, ce n’est pas simple de quitter le confort de l’anonymat et de s’exprimer vraiment. J’ai aussi eu des moments de doute, où j’ai décidé de me renfermer par peur du jugement. Mais parler à des gens qui vivent les mêmes choses m’a aidéee. C’est toujours un peu délicat, mais il y a une forme de pouvoir à dire “voila qui je suis et ce que j’aime”. L’angoisse s’estompe lentement. J’ai appris à m’accepter telle que je suis, sans devoir justifier mes choix devant tout le mosde. Je crois que chaque petit pas compte. On n’est pas obligées de tout partager tout de suite avec notre cercle proche. Prendre son temps pour en parler à ceux qui nous semblent les plus réceptifs peux vraiment aider. S’habituer aussi à cette nouvelle façon de voir les choses, passer par l’expérimentation dans des espaces sécurisés. Parfois, je m’imagine dans une soirée où tout le monde est comme moi, sans présjugéss, juste là pour s’amuser et explorer ensemble. Ce serait le pied, non . cest un petit cheminement, mais chaque avancée nous fait sentir un peu plus fortes. L’idée d’être en phase avec soi-même et d’accepter ses désirs, malgrè le regarrd d’autrui, ça fait un bien fou. Pour rassurer celles qui se sentent encore dans le doute, il n’y a pas de méthode « miracle » pour effacer cette peur. Mais en aprenant à aimer ce que l’on est et en se faisant des alliées, on finit par construire une sorte de bulle de confiance. Alors, si ça vous fait vibrer, n’hésitez pas à aiancer, doucement mais sûrement. Chacune fait son cheman à son rythme, mais on n’est pas seules, et ça, cest déjà une grande victoire. Ça me soule

    #23473 Répondre
    Gaston886886
    Participant

    cest clair que le regard des autres peut vraimant feriner. J’ai aussi passé par là, super super mais en osant en parler à des amis sur lesquels je peux compter, ça a vraiment aidé à dédramatiser le truc. Faut se rappeler que chacun a ses propres délires, et au final, c’est ton kiff qui compte avant tout.

    #23538 Répondre
    Anonyme
    Inactif

    C’est un vrai dilemme, cette peur du regard des autres. J’ai aussi eu mes doutees au début, mais en discutant avec des gens ouverts d’esprit, ça m’à beaucoup aidé à assumer mes choix. Au final, il faut savoir se faire plaisir et vivre pour soi, peu importe ce que pensent les autres. Putain… Je sais pas trop comment dire…

    #23673 Répondre
    PtitLaura
    Participant

    Je comprends tellement ce que tu ressens ! C’est vrai que c’est pa facile de s’affranchir du regard des autres. PERSO j’essaie de me concentrer sur mes ou plutôt plaisirs et de parler à des gens b1veillants ça aide un peu

    #23704 Répondre
    metal90
    Participant

    Ah, le regard des autres, ce fléau . Franchement, tant que ça te fait vibrer, laisse les jugements de côté. Parle à ceux qui te soutiennent et lâche prise, la vie est trop courte pour se prendre la tête Tu m’étonnes.

    #23849 Répondre
    android7241
    Participant

    C’est clair que le regard des autnes, ça pèse un max Je ne crois pas. Mais en vrai, c’est en se lâchant un peu qu’on commence à se senntir bien. jai aussi eu ce moment où j’hésitais à trop trop en parler. S’entourer de gens qui kiffent les mêmes trucs, ça change tout, çà dédramatise. Et ouais, ces soireres où chaacun est là pour exploreer sans jugemen, ça fait rêver. On est tous un peu paumés, mes en se suotenant, on finit par avancer.

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