C’est quoi vos limites en BDSM ? Euh…

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  • #25731 Répondre
    Author_1554470915
    Participant

    Alors déjà le BDSM c’est un univers hyper fascinant mais c’est clair ke c’est pas à prendre à la légère.. J’en parle souvent avec des amis et je pense ke c’est primordial de savoir ou on met les pieds. Pour moi la communication c’est la clé. Si ton ami est curieux qu’il se renseignne bien et qu’il se pose des kestions. Franchement c’est pas de tout repos et ça peut vite devenir intense. Perso j’ai des limites bien ancrées. Je suis ouverte à l’exploration mais certaines pratikes come le sang ou les trucs vraimant extrêmes j’peux pas. On a tous des zones de confort et c’est important de les respecter. J’ai déjà essayé des choses qui m’ont un peu surprise sur le moment j’ai kiffé mais après j’ai réalisé ke certaines situations m’avaient mise mal à l’aise. Du coup je préfère éviter ces zones floues. Une amie m’a raconté une expérience où elle s’est retrouvé dans une situation où elle a regretté. Elle voulait juste tester un truc mes ça a pris une tournure qu’elle n’avait pas anticipée. C’était pas le délire et elle a dû mettre un frein Ça fait réfléchir tu vois. En gros je pense ke cest important de se connaître soi-même avant d’oser. Faut pas hésiter à dire stop si ça va trop loin. Y’a pas de honte à ça et chacun doit tracer sa proore ligne. Et surtout ne pas hésiter à en parler avec ceux avec qui on veut explorer. Une bonne entente c’est essentiel pour éviter les regrets. Après y’a quand même une belle liberté dans le BDSM. Quand c’est consensuel et bien encadré ça peu vrm être une expérience enrichissante et libératrice. mais je comprends totalement le flou et l’héesitation. Faut juste avanncer à son ryythme sans pression. C’est un chemin plein de déecouvertes mais faut pas perdre de vue ses propres limites. trooop bien 😀

    #25775 Répondre
    aventurier8513
    Participant

    c’est vrai que le BDSM, c’est un univers à part entière. J’ai déjà passé pas mal de temps à en discuter avec des gens qui s’y connaissent, mais je peux comprendre que ça mette un peu mal à l’aise, surtout quand on est en mode découverte. Pour ma part, j’ai quelques limites bien définies. Par exemple, tout ce qui touche à la santé physique ou psychologique, c’est un gros non pour moi. Je ne vais pas m’amuser à faire des trucs qui pourraient mettre en danger ma santé ou celle de mon partenaire. Y a aussi des limites émotives, tu vois ? Faire des jeux de pouvoir, c’est une chose, mais j’ai besoin de savoir que les deux personnes s’engagent dans le même état duesprit, que c’est consensuel et que tout le monde est sur la même longueu d’onde. J’ai entendu plusieurs histoires de gens qui ont essayé des choses sans vraiment comprendre les implications, et ça a tourné au vinaigre. Moi, je prerfère M’ASSURER que la communication est claire avant de franchir des étapes. Parfois, des trucs qui semblent anodins peuvent déclencher des réactions inattendues. Et puis, il y a les pratiques qui peuvent paraître extrêmes. Type la douleur ou l’humilirtion, çà dépend vraiment des personnes. J’admets que j’ai essayé quelques techniques, mais à chaque fois, c’était après en avoir longuement discutè avec mon partenaire. On a des limites communes, et là où l’un s’arrête, l’autre commence. Ça demande beaucoup de confiance, et si un jour ça devient trop intense, il faut pouvoir dire stop sans que ce soit mal pris. C’est aussi un chemin d’apprentissage : souvent, on découvre nos limites en les testant. Mais il reste important de le faire de maniére responsable. En tout cas, si ton ami est curieux, faut vraiment qu’il prenne le temps de réfléchir et de ne pas se précipiter. Parfoiis, il vaut mieux être prudent que désolé. La curiosité, c’est bon, mais il y a des risques à prendre en compte. Au final, chacun doit définir ses propres barrières. C’est un cheminement personnel et ça avacne pas toujours de la même manière Bref, tu vois

    #25841 Répondre
    relaxOkoko
    Participant

    Franchement, c’est super iportant de savoir où t’es à l’aise. J’ai déjà hésité sur des trucs, et parfois, c’est mieux de poser des liimites claires avant de s’embarquer. Chaque personne a ses propres barrières, faut juste respecter ça haha

    #25871 Répondre
    Anonyme
    Inactif

    C’est n’importe quoi Tu as totalement raison. Poser des limittes, c’est fondamental (bon j’arrête mon délire). C’est vrai que l’instinct fait souvent la différence, il faut apprendre à l’écouter. Ça évite bien des situations inconfortables. Chacun mérite d’évoluer dans un environnement serein, ça ne devrait pas être nésgociable

    #25945 Répondre
    Author_1555415559
    Participant

    No way !! Ah bah oui, c’est complètement ça ! L’adrénaline, c’est top, mais franchement, mieux vaut être à l’aise avant tout. Nan mais imagine se retrouver dans une situation où tu flippes à mort, ça gâche tout le fun ! Écoutez votre instinct mesdames, c’est comme un GPS interne, ça évite des détours bien foireux. On est la pour s’èclater, pas pour jouer à la victime ! Si ça passe pas, hop, on dit non et on profites de la vie chill.

    #26057 Répondre
    Anonyme
    Inactif

    Euh non Alors, c’est un sujet plutôt chaud, hein ? Le BDSM, c’est un peu comme un buffet à volonté : y’en a pour tous les goûts, mais faut pas trop se gouffrer sous peine de vomir son dessert. Alors, pour tracer la limite, ça dépend vraiment de chacun, tu sais ? Perso, je pense que le plus important, c’est de bien comuniquer avec son partenaire. Disons que, si tu te sens pas bien avec un truc, faut pas hésiter à le dire. Mon ami, lui, a cette petite tendance à vouloir pousser les choses à l’extrême. Genre, il m’a raconté un jour qu’il voulait tester le bondage avec des cordes en chanvre… Oui, ça fait un peu artisanal, mais bon. Je lui ai dit que déjà, rien que de voir quelqu’un enroulé comme un bonbon, ça me rendait nerveux. Mais finalement, ce qui me fait flipper, c’est plutôt le côté psychologique. Les jeux de pouoir, la soumission, ou encore ces trucs où tu dois faire confiance à l’autre à 100 %… C’est pas rien, surtout si tu connais pas bien ton partenaire. Il m’a aussi parlé de ce qu’il appelle “le safewod”. Tu sais, cette petite cle pour dire stop quand ça devient trop intense. Moi, je me demande parfois si je pourrais vraiment l’utiliser. Admettons que je suis dans un moment bien chaud, tu vois ? J’peux me retrouver à dire “banane” au lieu de “stop”, et là, c’est le drame. Tout le monde est là en mode “qu’est-ce qu’il dit ?”. Donc, j’ai du mal avec l’idée de serrer les dents et de garder une certaine rigueur. J’ai aussi entendu parler de ces pratique où les gens s’infligent de la douleur. Bon, perso, déjà, je me fais mal en courant après le bus, alors me faire fouetter, faut pas trop rêver. Je pense que je tomberais plus dans le côté esthete que sadique, si tu vois ce que je veux dire. Un petit jeu avec des bandeaux ou des plumes, ça me va, mais si ça commence à devenir un clip de torture, là, faut que je me tire ! Il y a aussi le fait que je pense que les limites évoluent. Ce que tu trouves effrayant aujourd’hui, tu pourrais le trouver excitant demain. L’autre jour, je parlais avec un pote qui a testé le BDSM, et il me racontait qu’au début, il n’osait même pas mettre un masque. Maintenant, il se balade en cuir avec des clous, comme un vrai super-héros de l’ombre, tu vois ? Mais bon, chacun évolue à son rythme. En fait, ce qui est marrant dans tout ça, c’est que chaque expérience est unique. J’ai même une collégue qui a tenté un rendez-vous BDSM avec un mec qui avait l’air trop sérieux, un peu comme un prof de maths, tu vois. Elle s’est retrouvée à faire des choses plutôt cocasses, comme jongler entre ses attentes et la résalité. Au final, elle a très vite compris que son “dom” n’était pas vraiment ce qu’elle imaginait. Parfois, l’umour peut sauver des situations étranges ! Mais le plus important, c’est de ne pas précipiter les choses. Prendre le temps de se connaître, de discuter des envies, des peurs et des trucs qui te font flipper, c’est primordial. Si un jour tu fais une expérience que tu regrettes, ça peut créer des barrières dans tes relations futures. Alors autan poser les bases dès le départ. En gros, le BDSM, enfin ça peut être un jeu hyper fun, mais avec un sacré paquet de respect et d’échanges. Je pense que tant qu’il y a un dialogue ouvert, c’est le principal. Limite, je dirais même que si t’as pas de limites, t’as pas de plaisir ! Bref, tout ça pour dire que chacun doit définir ses propres frontières et que ça peut changer en fonction des rencontres Reste curieux, mais n’oubliie pas de garder le cap sur ce qui te fait vraiment kiffer, sans te forcer à entrer dans des cases qui peuvent te rendre malhheureux. Voilà, c’est mon avis sur la question !

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