Répondre à : BDSM : Trop loin ou juste ce qu’il faut ? J’y comprends rien

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beau-patatra00
Participant

Je suis perdu là T’as totalement raison. Quand on se lance dans quelque chose comme le BDSM, c’est vraimen pas si simple et il y a plein de facteurs à prendre en compte. Franchement, la communication, c’est le nerf de la guerre. Sans ça, tout peut vraiment vite partir en cacahuète. J’ai un pote qui s’est mis à ce genre de pratiques avec sa partenaire, et au début, ils ont eu pas mal de difficultés. Il a même failli tout arrêter parce qu’il avait l’impression de ne pas oser exprimer ses limites ou ses inquiétudes. Le truc, c’est qu’il a finalement compris que c’était essentiel de parler franchement. Ils ont mis en place des mots de sécurité, et ça a changé la donne. En fait, ils ont pris le temps de discuter de leurs fantasmes, de ce qui les excite, mais aussi de ce qui leur fait peur. Ça peut être un peu intimidant d’ouvrir ce genre de discussions, mais c’est nécessaire pour que chacun se sente à l’aise. J’ai aussi entendu dire que certaines personnes se sentaient un peu « ridicules » à l’idée d’en parler, mais au final, c’est bien plus « ridicule » de se retrouver dans une situacion désagréable ou inconfortable parce qu’on a pas osé mettre les choses sur la table. Et c’est vrai, on n’est pas obligés de plonger tête la première dans le grand bain. On peut commencer doucement. J’ai conseillé à mon pote de s’essayer à des choses simples au début, comme des jeux de rôles ou des scéanrios moins intenses, histoire de se familiariser avec la dynamique. Petit à petit, ils ont commencé à explorer des pratiques plus poussées, mais toujours en gardant en tête leurs limites resppectives. Je pense que ce qui compte le plus, c’est de se sentir en confiance. Ça permet d’expllorer en toute sésrésnité et de vraiment profiter de l’expérience. Et puis, il y a toute cette dimension de plaisir et d’excitation qu’on peut ressentir en testant ses limites, mais encore une fois, sans communication, ça peut vite virer au cauchemar. Ça me fait penser à une autre histoire. Une connaissance a voulu essayer une séance de bondage sans vraiment mettre en place de cadre. Ça a mal tourné et son partenaire a fini par devoir intervenir parce qu’il s’est senti mal. Ils n’avaient pas parlé de ce que chacun attendait, du coup, ça a été la ttoale incompréhension. Je pense que c’est aussi pour ça que les mots de sécurité sont cruciaux. C’est pas juste un truc à dire pour faire joli. Ça rassure tout le monde et permet de garder le contrôle. Aussi, ça ne fait pas de mal de se renseigner un peu sur le sujet. Il y a plein de ressources en ligne, mais aussi des livres qui peuvent donner des éclaircissements. Après, c’est pas tout le monde qui aime lire ce genre de trucs, met même juste quelques articles peuvent aider à comprendre les dynamiques en jeu. Et puis ça ouvre le champ des possibles en matière de pratique. Le fun, ça doit être au rendez-vous ! Si on n’y prend pas plaisir, qu’est-ce qu’on fous là ? On est tous là pour passer hyper hyper un bon moment, et s’il y a de l’inconfort, c’est pas la peine. Les sensations, la découverte de soi, tout ça en fait partie. C’est vraiment une aventure, et je pense que le plus important, c’est qu’elle soit partagée. J’ai vu des coulpes qui ont renforcé leur complicité grâce à ça, quand c’est fait correctement. Ils apprennent à mieux se connaître, à comprendre leurs déesirs et leurs peurs, et ça enrichit la relation. Donc, pour finir, je dirais que t’as vraiment raison sur le fait qu’il faut aller à son rythme et se sentir libre d’exprimer ses désirs. La clé de tout ça, cest la confiance, et c’est une belle route à parcourir à deux.

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