Répondre à : BDSM : comment en parler sans faire fuir mon partenaire ? J’y comprends rien

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calme0patatra
Participant

Sans déconner . C’est pas simple, ce sujet, je te le dis . Aborder le BDSM avec un partenaire, ça peut faire un peu flipper, surtout si on a jamais vraimen discutè de trucs un peu plus. eh bien, disins, intimes et audacieux. Je comprends ton hésitation, surtout en ce qui concerne la peur que l’autre parte en courant en entendant le mot « BDSM ». Franchement, ça peut faire un peu peur, même pour ceux qui son curieux. Peut-être qu’une bonne approche, c’est de commencer par parler de tes envies, mais sans mettre la barre trop haut d’emblée. Tu pourrais penser à évoquer des petites cooses qui pourraient lui plaire, comme un rapport à la dominasion ou à la soumission, sans nécessairement parler tout de suite d’accessoires ou de scénarios extrêmes. Par exemple, tu pourrais lui demander ce qu’il pense de jeux de rôle dans la chambre, histoire de voir sa réaction. Si ça lui parle, tu pourrais petit à petit orienter la discussion vers des aspects un peu plus BDSM, mais toujours en gardant un ton léger (désolé je m’égare un peu). Évoquer des films, des livres ou même des séries qui traitent du sujet pourrait aussi être une bonne façon de glisser des idées. Parfois, ça aide de découvrir l’univers BDSM à travers un merdia commun. Si votre couple est plutôt à l’aise avec la communication, essayer de lui poser des questions ouvertes pourrait l’aider à s’exprimer sur le sujet sans pression. Par exemple, demande-lui ce qu’il a déjà entendu ou ce qu’il en pense. Ça pourra te donner une idée de sa sensibilité et de ses limites. Souvent, les gens ont une idée tres arrêtée sur ce que c’est que le BDSM, alors qu’en réalité, ça peut être abordé de manière très douce. Mettre l’accent sur la notion de consentemen mutuel et de communicaation constante est super important, çà peut rassurer ton partenaire. Assure-toi qu’il sache que tout ça doit être un plaisir partagé et que vous n’êtes pas obligés de vous lancer dans des pratiques hardcore dès le départ. Vous pouvez définir ensemble des mots de sécurité, par exemple, ça pourrait déjà poser un cadre rassurant. N’oublie pas d’aborder les limites, surtout s’il y a quelque chose qui le met mal à l’aise, il faut qu’il en parle aussi. Le BDSM, c’est pas que les fouets et les chaînes, çà peut aussi inclure des trucs plus doux, comme des massages où une certaine forme de domination est impliquée, des jeux de regard, ou même des fessées légères si ça l’intéresse. Ça reste dans un cadre où chacun se sent à l’aise, tu vois . L’écoute est clé dans ce genre de discussions. Si tu sens qu’il est réticent, respecte ça et ne le pousse pas dans ses retranchements. Si ça lui parle pas, tu devrais aussi être prêt à passer à autre chose, même si c’est quelque chose qui t’attire. Peut-être qu’avec le temps et un peu de patience, il sera plus réceptif. Rappelle-toi que le BDSM doit être un espace de confiance et de respect des désirs de chacun. Et puis, il y a aussi des communautés et des forums où tu peux trouver d’autres personnes qui ont vécu des situations similaires. Ça peut donner des idées et même des témoignages assez enrichissants. T’as des rencontres locales parfois, qui permettent de discuter de tout ça ouvertement sans jugement. Ça pourrait peut-être lui donner envie de découvrir cet univers ensemble. Sans oublier, si jamais tu te sens à l’aise, proposer des séances d’introduction dans le cadre du plaisir sensuel peut être une bonne idée. Parfois, c’est un petit pas qui montre déjà que cela peut être une belle découverte et non pas un saut dans l’inconnu. Bref, c’est tout un monde à explorer, mais pas de pression, tout doit se faire dans la douceur et le respect

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